Perte de liaison clavier/centrale ?

Bonjour,
A l’automne 2011, je vous ai acheté tout un équipement d’alarme (et de commande de chauffage à distance) pour ma résidence secondaire qui m’avait, à ce jour, plutôt donné satisfaction.
Or, subitement, depuis l’été, j’ai, à plusieurs reprises, eu des difficultés pour mettre l’alarme en route (je crois qu’on peut le faire par téléphone, ce que je n’ai jamais testé car je n’ai, à ce jour, utilisé que badge, boitier de commande, et clavier) de même que pour l’arrêter les rares fois où je parvenais à l’enclencher.
Et je n’y parviens désormais plus du tout.
J’ai, dans un premier temps, pensé que des piles, dans les divers équipements, pouvaient être en cause.
Je les ai toutes changées.
Rien n’y fait.
Je reçois en outre régulièrement, pas à dates ni horaires fixes, le message suivant : « perte liaison clavier LCD 827290. »
Un électricien retraité voisin qui avait, pour l’essentiel, procédé à l’installation et en qui j’ai toute confiance, me dit se demander si cette situation ne résulterait pas de la distance qui sépare le clavier de la centrale : Il y a une bonne dizaine de mêtres de distance entre les deux avec 3 cloisons comprenant une porte les séparant.
Et il s’interroge sur le fait d’essayer de les rapprocher ce qui nécessitera des adaptations non négligeables (cable ethernet à poser entre box et centrale, arrivée de la liaison téléphonique, etc..) bref pas simple mais envisageable me dit il.
Ok, pour ma part à ceci près que je me pose la question suivante: Pourquoi donc l’installation a-t-elle plutôt bien fonctionné pendant près de 6 ans et ce problème d’éloignement (clavier/centrale), si c’est bien la cause, n’apparaitrait il , soudainement, que maintenant ?
Voila pourquoi je me suis permis de vous contacter et recueillir votre avis car, avant de me lancer dans l’ « adaptation » envisagée de mon installation j’aimerais être sûr qu’il n’y a pas d’autres explications possibles à la situation dégradée présente.

Vous remerciant de votre coopération et compréhension.
Cordialement.

F. Thiard